MON PASSE SIMPLE
MON PASSE SIMPLE !!!!!
Oui, je vous vois venir avec vos gros souliers. JO veut nous apprendre les conjugaisons avec son air docte et professoral, en marmonant " à mon époque c'était pas du Facebook, on savait conjuguer!!!"
Quedale, rien de tout cela, rien à voir avec la conjugaison, mauvaises langues que vous êtes!
Analysez votre énoncé que diable avant de vous lancer dans une rédaction hors sujet!
"Mon" : c'est moi, enfin, un peu!
"Passé" : c'était avant, mais avant quoi ? Aujourd'hui ?
"Simple" ? Pourquoi simple ? Parce que avant, et pas maintenant ?
MON PASSE SIMPLE c'est un peu tout cela. En bref :
J'ai voulu traduire ma consternation ( si, si !) face à la vie menée actuellement par nos ados, en comparaison avec celle que j'ai moi même menée il y a 50 ans. Oui je suis un vieux couillon roumégaïre, ronchon. Je précise qu'il s'agit là d'une prédisposition et une tare à laquelle on ne peut prétendre qu'à mon âge et pas à vingt ans ! Et toc !
J'ai voulu retrouver un peu de mes madeleines de Proust, en retournant là bas 50 ans en arrière lorsque moi j'étais ado.
J'ai voulu une suite à LIBELLULE mon roman de terroir, mais sans rester collé à mon père, tout en peignant une nouvelle fois ce fabuleux paysage de mes Cévennes, surtout Portes et Chamborigaud et le reste de la région.
Mais j'ai gardé une place de choix aussi pour le coin du Gard qui m'abrite depuis 30 ans Marguerittes et son pays des Rachalans dans la garrigue loin des châtaigiers et des cèpes.
J'ai voulu écrire un roman qui prendrait la forme d'un conte avant Noel.
J'ai voulu, tout d'abord un peu d'humour en comparant deux époques très différentes.
J'ai voulu ensuite rendre mon roman dramatique au point d'écoeurer le héros Erwan prototype de l'ado 2017 transféré en 1967. De quoi vomir pour ce jeune qui ne connaitra jamais les vendanges, les corvées, le kéli, le clinton, l'accoutrement des sixties. Ben si, il y est, il y a droit, et il demande grace à l'auteur ( MOI ) qui ne transige pas, car c'est lui qui décide.
Un zeste d'humour, une pincée d'amour, un nappage de dramaturgie, et ce livre va vous envouter. Il y a de tout, et pour tout le monde. Ecrit comme je le fais à chaque fois pour que chacun puisse lire sans dictionnaire ni Google.
Quoi ?? Comment ça finit ? La bonne blague!!! Sortie imminente, tu vas bientôt savoir cher lecteur. Bientôt, et tu n'es pas au bout de tes surprises.
Oui, je vous vois venir avec vos gros souliers. JO veut nous apprendre les conjugaisons avec son air docte et professoral, en marmonant " à mon époque c'était pas du Facebook, on savait conjuguer!!!"
Quedale, rien de tout cela, rien à voir avec la conjugaison, mauvaises langues que vous êtes!
Analysez votre énoncé que diable avant de vous lancer dans une rédaction hors sujet!
"Mon" : c'est moi, enfin, un peu!
"Passé" : c'était avant, mais avant quoi ? Aujourd'hui ?
"Simple" ? Pourquoi simple ? Parce que avant, et pas maintenant ?
MON PASSE SIMPLE c'est un peu tout cela. En bref :
J'ai voulu traduire ma consternation ( si, si !) face à la vie menée actuellement par nos ados, en comparaison avec celle que j'ai moi même menée il y a 50 ans. Oui je suis un vieux couillon roumégaïre, ronchon. Je précise qu'il s'agit là d'une prédisposition et une tare à laquelle on ne peut prétendre qu'à mon âge et pas à vingt ans ! Et toc !
J'ai voulu retrouver un peu de mes madeleines de Proust, en retournant là bas 50 ans en arrière lorsque moi j'étais ado.
J'ai voulu une suite à LIBELLULE mon roman de terroir, mais sans rester collé à mon père, tout en peignant une nouvelle fois ce fabuleux paysage de mes Cévennes, surtout Portes et Chamborigaud et le reste de la région.
Mais j'ai gardé une place de choix aussi pour le coin du Gard qui m'abrite depuis 30 ans Marguerittes et son pays des Rachalans dans la garrigue loin des châtaigiers et des cèpes.
J'ai voulu écrire un roman qui prendrait la forme d'un conte avant Noel.
J'ai voulu, tout d'abord un peu d'humour en comparant deux époques très différentes.
J'ai voulu ensuite rendre mon roman dramatique au point d'écoeurer le héros Erwan prototype de l'ado 2017 transféré en 1967. De quoi vomir pour ce jeune qui ne connaitra jamais les vendanges, les corvées, le kéli, le clinton, l'accoutrement des sixties. Ben si, il y est, il y a droit, et il demande grace à l'auteur ( MOI ) qui ne transige pas, car c'est lui qui décide.
Un zeste d'humour, une pincée d'amour, un nappage de dramaturgie, et ce livre va vous envouter. Il y a de tout, et pour tout le monde. Ecrit comme je le fais à chaque fois pour que chacun puisse lire sans dictionnaire ni Google.
Quoi ?? Comment ça finit ? La bonne blague!!! Sortie imminente, tu vas bientôt savoir cher lecteur. Bientôt, et tu n'es pas au bout de tes surprises.
JO
